L'OCDE recensait environ 300
codes de bonnes conduites
au début des années 2000.
L'adoption de ces codes traduit la demande croissante
exercée par les ONG, les actionnaires
et les fonds d'investissement socialement responsables.
Les enjeux résident dans la traduction
des normes au plan opérationnel.
(1) Organisation Internationale du Travail
Déclaration de principes tripartite adopté
en 1977 sur les entreprises multinationales et
la politique sociale, revue en 2000 à la
lumière de la Déclaration de principes
et droits fondamentaux au travail (1998). La Déclaration
de l'OIT couvre tous les aspects de la politique
sociale, des relations industrielles à
la formation et à l'emploi. Elle s'adresse
à une grande variété d'acteurs
économiques (entreprises, autorités
publiques, organisations d'employeurs et de travailleurs)
(2) guide des Droits de l'Homme dans les affaires
(3) norme mondiale pour les entreprises dans la
conduite de leurs affaires
(4) Ethical Trading Initiative (Initiative pour
le commerce éthique) : projet pilote britannique
destiné à identifier et promouvoir
les meilleures pratiques pour la mise en oeuvre
de codes de travail
(5) adoptées le 13 Août 2003, ces
normes concernent les responsabilités des
entreprises en matière de droits de l'Homme.
Elles présentent une série d'obligations
tirées des droits de l'Homme universels
et des normes en manière de travail et
d'environnement.
(6) meilleures pratiques en matière de
management
(7) créé en 1994, ce groupe est
constitué d'une centaine de grandes entreprises
qui partagent leur expérience en matière
de citoyenneté et de gouvernement d'entreprise.
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